Appelez moi Dr Maison !
Il y a beaucoup de points communs entre le Feng Shui et l’acupuncture : Dans les deux cas, on travaille sur la circulation des énergies que les chinois appellent le QI – à prononcer chi –
Le médecin-acupuncteur travaille sur le corps humain. Pour simplifier, on va dire qu’il active nos énergies trop faibles en les débloquant et ralentit les énergies qui fonctionnent trop rapidement. Un bon médecin-acupuncteur peut faire des merveilles et vous redonner tout le pep qui était caché en vous avec quelques séances: vous êtes toujours le même, mais au meilleur de votre forme.
Le maître de Feng Shui classique travaille sur l’environnement des lieux habités par les gens comme les maisons et les appartements, les bureaux, les écoles. Quand ils travaillent sur un jardin, c’est toujours par rapport aux maisons qui sont à proximité pour que le jardin leur soit propice.
Bien sûr, il travaille aussi sur l’intérieur des maisons, mais il faut toujours se souvenir que l’extérieur d’une maison compte pour 70%, et l’intérieur de la maison seulement pour 30%.
Après une expertise de Feng Shui bien menée, votre maison est toujours la même, mais au meilleur de ce qu’elle peut vous apporter.
Pendant très longtemps, ces deux disciplines n’ont pas été reconnues par les pays occidentaux. L’acupuncture a dû attendre 50 ans avant que l’on admette qu’elle pouvait soigner, grâce au voyage en Chine de médecins qui ont accompagné Nixon dans les années 50.
Le Feng Shui a été connue des occidentaux à la fin des années 90. Cela fait 20 ans de cela. En se référant à l’acupuncture, il semblerait qu’il ne reste plus qu’une trentaine d’années pour qu’on reconnaisse les effets bénéfiques qu’on peut obtenir avec le Feng Shui Classique.
Les Maîtres de Feng Shui peuvent-ils prétendre au titre de médecin des maisons ?
Bien sûr, puisque leur travail consiste à favoriser la circulation des énergies bénéfiques à travers les différentes pièces d’une maison. Un lit bien placé aide à mieux dormir. Une cuisinière au bon endroit aidera à être en meilleure santé. Et si les occupants de la maison bénéficient d’une plus grande prospérité, ils seront certainement moins stressés.
Un grand géobiologue, Roger de Lafforest, avait écrit écrit un livre best-seller dans les années 70 dont le titre était « Les maisons qui tuent » A une époque où personne en France ne connaissait ce qu’était le Feng Shui, il le recommandait pour être en bonne santé:
« Il y aurait moitié moins de malades – et par conséquent, la Sécurité Sociale ne serait pas au bord de la faillite – si aucune maison ne pouvait être construite chez nous sans l’avis favorable d’un maître en Foung-Choei ».